Et le sentier s'est remis à monter, monter. Le pas était lourd comme si on se hissait péniblement sur je ne sais quel Everest (neige et froid mis à part). Ca n'en finissait pas de nouveau. Et c'est bien là tout le problème de ces cartes qui n'indiquent pas ou peu les altitudes et donc les dénivelés. Nous avons tout redégringolé de nouveau. Cette fois : arrêt incontournable à la buvette (fait chaud, fait soif, et nos gourdes - 3 litres pourtant - se vident dangereusement !)
Pour le retour nous avons opté pour la version simple et directe. La route s'est mise à monter, monter. Bigre ! Une fois revenus au départ nous en avions plein les bottes, assurément. J'estimais avoir fait près de 15 km et plus de 700 mètres de grimpette. Mais ce n'était qu'illusions là encore. Le verdict est tombé le lendemain en consultant une carte plus précise : ce fut 12 km et il fallait gratter pour juste totaliser 550 mètres de dénivelé. Ouh là là ! L'acclimatation va être dure. On a eu beau avoir, à Paris, un printemps au goût estival, ça ne le fait pas en Martinique où la chaleur humide est oppressante pour nous autres de la métropole.
Bon ça ne fait rien. On a tout de même eu le plaisir des yeux.
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